Auteure: Erin Bow
Titre original: The Swan Riders
Éditeur: Les éditions les Malins
Résumé
(Ceci est un deuxième tome)
(Ceci est un deuxième tome)
Greta Stuart a toujours su ce que lui réservait l’avenir : une mort prématurée.
Princesse héritière de son pays, elle en est également l’otage destiné à périr la première dans l’inévitable
guerre qui se dessine. Mais lorsque celle-ci éclate, les règles établies volent en éclats et Greta s’invente un
autre parcours.
Elle n’est plus princesse. Ni otage. Ni humaine. Greta Stuart devient une IA (intelligence artificielle).
Si elle survit à la transition, Greta méritera sa place aux côtés de Talis, l’IA qui dirige l’univers. Talis croit profondément au maintien de la paix au moyen d’une puissance supérieure. Mais certains problèmes trop personnels ne s’effacent pas et c’est à ce moment qu’entrent en jeu les Cygnes, une petite bande d’humains mi-soldats, mi-disciples, au service des IA.
Deux de ces chevaliers escortent Talis et Greta dans une Saskatchewan post-apocalyptique. Mais le destin de Greta a mené sa nation à la rébellion ouverte, et les pâturages asséchés pourraient bien dissimuler des insurgés qui souhaitent la secourir – ou la voir mourir. Parmi eux, Élián, le garçon qu’elle a sauvé, celui qui veut transformer le monde, à coups de couteau, s’il le faut. Même les Cygnes, malgré leur loyauté en apparence inébranlable, cachent peut-être autre chose.
Mon avis
Tout d’abord, sachez que j’avais très hâte de lire la suite du Règne du scorpion. Le premier tome m’avait beaucoup plu et je trouvais que la fin offrait quelque chose de très prometteur pour une suite encore meilleure, mais malheureusement c’est tout le contraire qui s’est produit avec Le règne du scorpion: La paralysie du Cygne.
Ce deuxième tome est très différent du premier. Dans les deux romans, il ne se passe presque rien et l’action se déroule vers la fin, mais dans Le règne du scorpion : Les prisonniers de la paix je ne m’étais pas ennuyé contrairement à Le règne du scorpion : La paralysie du Cygne. Après avoir lu quelques chapitres, je me suis vite rendu compte que je n’aimerais pas autant que le premier et j’avais donc qu’une hâte; le terminer. Par ce fait, j’ai pris énormément de temps à le lire, car je n’avais pas du tout envie de me replonger dedans. Mais ce n’est pas seulement dû au fait qu’il ne se passait rien que ce roman ne m’a pas plus, il y a beaucoup d’autres raisons et les voici :
Le personnage de Greta.
Dans le premier tome, j’appréciais son personnage. Elle avait un fort caractère et voulait tout faire pour aider ceux qu’elle aime. Dans celui-ci, elle est juste fade et inintéressante selon moi. C’est normal qu’elle soit différente vu qu’elle est devenue une IA, mais j’ai eu l’impression que c’était un tout autre personnage! En gros, elle passe pratiquement inaperçue et vu que je ne l’ai pas appréciée, je souhaiterais garder le souvenir que j’ai d’elle du premier tome.
La relation amoureuse de Xie et Greta.
Ce couple avait été l’une des choses qui m’avait le plus charmé dans Le règne du scorpion : Les prisonniers de la paix, mais dans le deuxième on y fait presque pas allusion et ça m’a particulièrement énervée et déçue! J’attendais leurs retrouvailles avec impatience, mais rien.
L’inexistence de Xie.
Xie avait été mon personnage favori dans le premier tome, je m’étais beaucoup attachée à elle, mais nous ne l’a revoyons jamais. Greta pense à elle deux/trois fois dans tout le roman et on l’aperçoit une seconde vers la fin, mais rien de plus. Je suis extrêmement déçue par le choix de l’auteure de l’avoir carrément effacé de l’histoire alors qu’elle était assez importante dans le premier. Donc, si comme moi vous étiez fan de son personnage et que sa relation avec Greta était l’une des choses que vous attendiez avec impatience dans ce tome, vous allez être très déçus.
L’inexistence du préceptorat et de tous ses autres détenus.
Encore un autre aspect que j’avais adoré du premier absent dans le deuxième. J’adorais l’ambiance qui se déroulait au préceptorat et j’avais bien aimé certains autres personnages (même si je ne me souviens pas de leurs noms, car il y en avait trop), mais tout ça est également oublié. J’avais conscience que le préceptorat ne serait pas le lieu principal dans cette suite, mais j’aurais au moins pensé que Greta y retournerait une fois.
Les personnages de ce tome ne m’ont fait ni chaud ni froid.
Je ne me suis attachée à aucun d’eux, aucun ne m’a fait ressentir quelque chose. Je les ai tous trouvés très banals et sans profondeur. Il y a seulement le personnage de Talis que j’ai apprécié, mais sans plus.
Le concept des IA et des Cygnes pas très bien expliqué.
En refermant le livre, je suis resté sur un sentiment très flou sur cet aspect. Peut-être que certain auront plus de facilité à comprendre, mais personnellement je ne comprends pas toutes les différences entre une IA et un Cygne. J’ai aussi trouvé que la venue du
« deuxième » Talis ajoutait plus de confusion qu’autre chose.
L’action qui ne se déroule qu’à la fin.
Comme je l’ai mentionné plus haut, les deux romans sont semblables sur ce point, mais je ne m’étais pas ennuyé dans le reste du roman du Règne du scorpion : Les prisonniers de la paix. Mais dans Le règne du scorpion : La paralysie du Cygne, je m’endormais presque tellement je n’avais pas d’intérêt pour ce qui se passait. Même l’action vers la fin ne m’a pas émerveillée, je l’ai trouvé bien, mais sans plus.
La fin ouverte.
J’avais espérance d’avoir une bonne fin même si je n’aimais pas vraiment ma lecture. J’aime toujours beaucoup le fond de l’histoire et le monde créé par Erin Bow, donc j’aurais voulu une vraie conclusion. Sauf qu’elle nous offre une fin très ouverte qui offre possibilité d’un troisième tome. D’ailleurs, je souhaiterais vraiment qu’il y en ait une! Avec un troisième tome, l’auteure pourrait mieux expliquer son univers et ramener les personnages du premier tome (surtout Xie s’il vous plait!). Malheureusement, je ne pense pas qu’une suite est au programme de l’auteure. Sauf qu’une fille peut toujours rêver, car la fin en elle-même n’est pas mauvaise, elle fait même espérer quelque chose de super génial s’il y avait une suite!
Bref, je pense que vous l’avez compris, j’ai été très déçue par ce deuxième tome dont j’attendais beaucoup. Au moins Talis a sauvé un peu la mise, mais il n’est pas assez super pour me faire plus apprécier l’histoire. Si vous avez lu ma chronique sur Le règne du scorpion : Les prisonniers de la paix, rappelez-vous que j’espérais en apprendre plus sur lui, mais ça n’a pas vraiment été le cas. Nous avons droit à quelque flash-back, mais rien de très important. J’aurais voulu voir ces débuts en tant que « maître du monde » et comment il avait réussi à le contrôler. Mais j’ai tout de même bien apprécié ces (peu nombreux) points de vue. J’aurais d’ailleurs aimé avoir d’autres points de vue et pas seulement ceux de Greta. Cela aurait peut-être rendu le récit plus intéressant pour moi.
J’étais aussi contente de retrouver le personnage d’Élian, même si lui aussi je l’ai moins apprécié que dans le premier.
L’écriture était encore une fois très agréable à lire et j’admire l’imagination de l’auteure même si j’aurai préféré une autre tournure à son histoire. Il faut quand même que j’aime beaucoup l’univers pour avoir terminé le livre même s’il ne me plaisait pas particulièrement!
Bref, je garde un petit espoir à ce qu’il y ait un troisième tome, car j’aimerais beaucoup avoir un meilleur avis final sur cette série qui avait eu un départ prometteur, mais je ne me fais pas de grandes espérances!
Si vous avez lu le premier tome, je vous invite à lire le deuxième et vous faire votre propre avis et si vous n’avez pas encore tenté cette duologie, je vous invite aussi à le faire, car vous pourriez être très surpris!
Je remercie Les éditions les Malins pour cet envoi!
Ce deuxième tome est très différent du premier. Dans les deux romans, il ne se passe presque rien et l’action se déroule vers la fin, mais dans Le règne du scorpion : Les prisonniers de la paix je ne m’étais pas ennuyé contrairement à Le règne du scorpion : La paralysie du Cygne. Après avoir lu quelques chapitres, je me suis vite rendu compte que je n’aimerais pas autant que le premier et j’avais donc qu’une hâte; le terminer. Par ce fait, j’ai pris énormément de temps à le lire, car je n’avais pas du tout envie de me replonger dedans. Mais ce n’est pas seulement dû au fait qu’il ne se passait rien que ce roman ne m’a pas plus, il y a beaucoup d’autres raisons et les voici :
Le personnage de Greta.
Dans le premier tome, j’appréciais son personnage. Elle avait un fort caractère et voulait tout faire pour aider ceux qu’elle aime. Dans celui-ci, elle est juste fade et inintéressante selon moi. C’est normal qu’elle soit différente vu qu’elle est devenue une IA, mais j’ai eu l’impression que c’était un tout autre personnage! En gros, elle passe pratiquement inaperçue et vu que je ne l’ai pas appréciée, je souhaiterais garder le souvenir que j’ai d’elle du premier tome.
La relation amoureuse de Xie et Greta.
Ce couple avait été l’une des choses qui m’avait le plus charmé dans Le règne du scorpion : Les prisonniers de la paix, mais dans le deuxième on y fait presque pas allusion et ça m’a particulièrement énervée et déçue! J’attendais leurs retrouvailles avec impatience, mais rien.
L’inexistence de Xie.
Xie avait été mon personnage favori dans le premier tome, je m’étais beaucoup attachée à elle, mais nous ne l’a revoyons jamais. Greta pense à elle deux/trois fois dans tout le roman et on l’aperçoit une seconde vers la fin, mais rien de plus. Je suis extrêmement déçue par le choix de l’auteure de l’avoir carrément effacé de l’histoire alors qu’elle était assez importante dans le premier. Donc, si comme moi vous étiez fan de son personnage et que sa relation avec Greta était l’une des choses que vous attendiez avec impatience dans ce tome, vous allez être très déçus.
L’inexistence du préceptorat et de tous ses autres détenus.
Encore un autre aspect que j’avais adoré du premier absent dans le deuxième. J’adorais l’ambiance qui se déroulait au préceptorat et j’avais bien aimé certains autres personnages (même si je ne me souviens pas de leurs noms, car il y en avait trop), mais tout ça est également oublié. J’avais conscience que le préceptorat ne serait pas le lieu principal dans cette suite, mais j’aurais au moins pensé que Greta y retournerait une fois.
Les personnages de ce tome ne m’ont fait ni chaud ni froid.
Je ne me suis attachée à aucun d’eux, aucun ne m’a fait ressentir quelque chose. Je les ai tous trouvés très banals et sans profondeur. Il y a seulement le personnage de Talis que j’ai apprécié, mais sans plus.
Le concept des IA et des Cygnes pas très bien expliqué.
En refermant le livre, je suis resté sur un sentiment très flou sur cet aspect. Peut-être que certain auront plus de facilité à comprendre, mais personnellement je ne comprends pas toutes les différences entre une IA et un Cygne. J’ai aussi trouvé que la venue du
« deuxième » Talis ajoutait plus de confusion qu’autre chose.
L’action qui ne se déroule qu’à la fin.
Comme je l’ai mentionné plus haut, les deux romans sont semblables sur ce point, mais je ne m’étais pas ennuyé dans le reste du roman du Règne du scorpion : Les prisonniers de la paix. Mais dans Le règne du scorpion : La paralysie du Cygne, je m’endormais presque tellement je n’avais pas d’intérêt pour ce qui se passait. Même l’action vers la fin ne m’a pas émerveillée, je l’ai trouvé bien, mais sans plus.
La fin ouverte.
J’avais espérance d’avoir une bonne fin même si je n’aimais pas vraiment ma lecture. J’aime toujours beaucoup le fond de l’histoire et le monde créé par Erin Bow, donc j’aurais voulu une vraie conclusion. Sauf qu’elle nous offre une fin très ouverte qui offre possibilité d’un troisième tome. D’ailleurs, je souhaiterais vraiment qu’il y en ait une! Avec un troisième tome, l’auteure pourrait mieux expliquer son univers et ramener les personnages du premier tome (surtout Xie s’il vous plait!). Malheureusement, je ne pense pas qu’une suite est au programme de l’auteure. Sauf qu’une fille peut toujours rêver, car la fin en elle-même n’est pas mauvaise, elle fait même espérer quelque chose de super génial s’il y avait une suite!
Bref, je pense que vous l’avez compris, j’ai été très déçue par ce deuxième tome dont j’attendais beaucoup. Au moins Talis a sauvé un peu la mise, mais il n’est pas assez super pour me faire plus apprécier l’histoire. Si vous avez lu ma chronique sur Le règne du scorpion : Les prisonniers de la paix, rappelez-vous que j’espérais en apprendre plus sur lui, mais ça n’a pas vraiment été le cas. Nous avons droit à quelque flash-back, mais rien de très important. J’aurais voulu voir ces débuts en tant que « maître du monde » et comment il avait réussi à le contrôler. Mais j’ai tout de même bien apprécié ces (peu nombreux) points de vue. J’aurais d’ailleurs aimé avoir d’autres points de vue et pas seulement ceux de Greta. Cela aurait peut-être rendu le récit plus intéressant pour moi.
J’étais aussi contente de retrouver le personnage d’Élian, même si lui aussi je l’ai moins apprécié que dans le premier.
L’écriture était encore une fois très agréable à lire et j’admire l’imagination de l’auteure même si j’aurai préféré une autre tournure à son histoire. Il faut quand même que j’aime beaucoup l’univers pour avoir terminé le livre même s’il ne me plaisait pas particulièrement!
Bref, je garde un petit espoir à ce qu’il y ait un troisième tome, car j’aimerais beaucoup avoir un meilleur avis final sur cette série qui avait eu un départ prometteur, mais je ne me fais pas de grandes espérances!
Si vous avez lu le premier tome, je vous invite à lire le deuxième et vous faire votre propre avis et si vous n’avez pas encore tenté cette duologie, je vous invite aussi à le faire, car vous pourriez être très surpris!
Je remercie Les éditions les Malins pour cet envoi!
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